La composition d’un shampoing bio
Sommaire de cet article
Formule et composition d’un shampoing (bio ou conventionnel)
Pour comprendre ce qu’est un shampoing bio et l’intérêt qu’il représente, il faut savoir ce qu’est une shampoing tout court !
Qu’est ce qu’un shampoing bio
Quelles sont donc les exigences des labels bio ? Pourquoi les shampoings bio sont-ils des produits extrêmement perfectionnés ?
Quelle est la formule d’un shampoing bio ?
Quels sont les ingrédients à chercher dans un (bon) shampoing ? Ceux à éviter.
Comment être sûr de la composition d’un produit ?
On vous explique comment chercher un bon shampoings bio et pourquoi.
Mais qu’est ce qu’un shampoing bio ? Qu’est ce qui fait qu’il est vraiment naturel ? Qu’est ce qui fait qu’il est efficace ? Qu’il mousse ou pas ? Dans bien des domaines, le bio est simplement le retour aux produits d’avant l’ère du pétrochimique. Après tout, l’humanité ne s’est nourrie et lavée qu’au « bio » pendant des millénaires avant le XXème siècle ! Pour les shampoings, c’est un peu compliqué car ils sont nés en même temps que cette industrie et sont un produit très moderne. Les shampoings sont de base, des produits issus de la pétrochimie. Le shampoing bio est donc un tout nouveau cosmétique, qui demande un renouvellement de connaissances et d’expérience de la part de ceux qui le produisent. D’où la difficulté aujourd’hui de trouver de bons produits et surtout leur prix de vente qui reflètent tout simplement leur coût de production (enfin, pour les bons produits…). Histoire, compositions, enjeux… Je vous explique tout dans cet article !
Formule et composition d’un shampoing
Le savon sans savon : les détergents synthétiques
Jusqu’à l’époque moderne, nous nous lavions essentiellement avec du savon, qui est issu d’une réaction entre un corps gras et de la soude (le fameux procédé millénaire de saponification). Mais le savon ne lave pas en eau dure (et accessoirement laisse un léger film sur la peau et les cheveux après rinçage). Pour pallier à ces problèmes ont été créés pendant la seconde guerre mondiale les syndets (synthetic detergent). Détergents de synthèse mis au point en laboratoire, ils permirent aux marins de se nettoyer avec de l’eau de mer. Les premiers tensioactifs étaient nés. Autre avantage non négligeable, ces syndets sont capables de dissoudre les résidus de calcaire : ils ne laissent donc pas de dépôt au contraire du savon. Les tensioactifs qui les composent seront ensuite allègrement utilisés dans les produits lavants de toute sorte et pour tout usage, du nettoyage industriel aux cosmétiques avec pourtant souvent un ingrédient identique : les sulfates et notemment le Sodium Laureth Sulfate.
Quelle est la structure d’un shampoing ?
Qu’il soit conventionnel, naturel ou bio, voici les ingrédients de base qui constituent un shampoing type liquide en bouteille :
- l’eau : ce sera toujours le premier ingrédient, donc celui dont le shampoing contiendra le plus (sauf pour les shampoings solides, qui n’en contiennent pas);
- un tensioactif primaire : c’est lui qui a la capacité de dissoudre le gras et les impuretés de façon générale. Il détermine aussi en grande partie le pouvoir moussant du produit. C’est pour cela qu’il est en seconde position après l’eau et représente (avec le tensioactif secondaire), la grande majorité de la formulation du produit;
- un tensioactif secondaire : lave et mousse aussi, mais de façon moindre que le tensioactif principal. Sa fonction principale serait plutôt d’adoucir ce dernier qui est souvent irritant;
- un ou des conservateurs. C’est eux qui, en bloquant la prolifération des bactéries, vont empêcher le shampoing de se dégrader et va nous permettre de le garder plusieurs mois voire plusieurs années. Le conservateur est indispensable en phase aqueuse, donc obligatoire dès qu’il y a de l’eau;
Il s’agit là de la base de la formule d’un shampoing (ou de tout autre produit lavant type gel avec de l’eau d’ailleurs). Mais il peut y avoir (quasiment tout le temps d’ailleurs) des additifs pour apporter d’autres effets au produit. Sachant que la plupart des shampoings conventionnels sont formulés à partir d’un cocktail de tensioactifs peu ou prou identiques, ce sont les additifs qui vont vraiment faire la différence du produit :
- les agents visants à rendre le shampoing plus agréable à utiliser: épaississants, nacrants, colorants, opacifiants et parfum;
- agents ayant pour but de « texturiser » le cheveu. Adoucissants et surgraissants, épaississants…
- stabilisateurs de mousse et de PH;
- actifs soins;
- …et bien d’autres encore en fonction du formuateur.
Quels sont les ingrédients nocifs dans un shampoing chimique ?
Cette la formule est celle d’un shampoing conventionnel comme d’un shampoing bio, tous deux de forme liquide. Elle peut donc être tout à fait inoffensive. Sauf que dans le cas du conventionnel, on s’aperçoit que quasiment tous les ingrédients posent problème:
- l’eau déminéralisée : bon, a priori pas de soucis avec l’eau 🙂 ;
- les sulfates. Dans la grande majorité des shampoings chimiques les tensioactifs principaux sont des sulfates (je reviendrai sur les différents types de tensioactifs dans la suite de cet article). On attaque le cœur du problème. Non seulement à cause de leur nature et de leur effets mais aussi car c’est l’ingrédient principal d’un shampoing. Ils sont aussi reconnus comme irritants pour la peau et les muqueuses, ils ont aussi la fâcheuse tendance à faciliter la pénétration de substances toxiques à travers la peau… Le problème est aussi leur mode de production : ce sont des ingrédients de synthèse très polluants à produire, et donc la biodégradabilité et elle aussi très mauvaise. Les plus utilisés sont : le Sodium Laureth Sulfate (SLES), le Sodium Lauryl Sulfate (SLS), l’Ammonium Laureth Sulfate (autorisé en bio) et le Sodium Myreth Sulfate (très irritant donc bien plus rare). Ceux-ci sont à bannir de tous vos cosmétiques car ce sont les tensioactifs les plus irritants. Dans un shampoing ils sont inutilisables sans être complétés par un tensioactif secondaire qui va adoucir ces effets, même si cela ne va que les masquer, mais en aucun cas les annuler. Ils sont très largement utilisés dans les cosmétiques car ils sont très bon marchés et ne laissent aucune saleté après leur passage.
; - les conservateurs : obligatoires dans un produit constitué d’eau. Le plus connu d’entre eux est le paraben. Depuis quelques années les études et contre-études font rage autour de son potentiel cancérigène. Toujours est-il qu’il est allergène et très fortement soupçonné d’être un perturbateur endocrinien. A bannir donc, mais à ne pas remplacer par la methylisothiazolinone ou la Methylchloroisothiazolinone qui sont de bien pires allergènes;
- dans les additifs, je vous épargne la liste exhaustive des indésirables. On y trouve en vrac les tristement célèbres silicones (agents occlusifs, empêchent vos cheveux d’absorber les soins) supposés gainer votre cheveu et les huiles minérales tout bonnement dérivées du pétrole censées également soigner vos cheveux;
- les PEG : désignés par les appellations « PEG-chiffre ». Très présents dans les shampoings et les cosmétiques de façon générale, ce sont des dérivés de pétrole très polluants.
- les alcools : ils sont utilisés pour différentes raisons (antiseptiques, confort, antibactériens…) dans les shampoings mais sont nullement indispensables. En théorie asséchants, cet effet peut être contrebalancé par une formulation équilibrée et d’autres produits de qualité. Évitez tout de même l’ « alcohol denat » et remarquez qu’il doit figurer en fin de liste, sinon sa concentration sera trop importante et le shampoing asséchant;
No-poo, transition, routine naturelle : le guide gratuit pour passer le pas !
Si vous démarrez totalement dans le cheveu au naturel, il y a quelques notions à connaître. Tout d’abord, le no-poo, qui émerge forcément lorsque l’on parle de faire son shampoing maison puisque qu’il s’agit d’éliminer toute substance pétro-chimique néfaste de votre tête. Pour plus d’informations, veuillez lire cet article que j’ai dédié à la méthode no-poo. Ensuite la routine naturelle : il s’agit tout simplement de l’ensemble des gestes récurrents que vous allez opérer pour laver et prendre soin de vos cheveux au naturel.
Enfin la transition. Alors que c’est peu connu, il faut savoir que l’on ne passe pas forcément très facilement d’une routine « conventionnelle » à une routine naturelle : la première est tellement violente que les cheveux et le cuir chevelu ont besoin d’une période d’adaptation. Pour s’y mettre facilement, n’hésitez pas à télécharger mon e-book gratuit qui vous guidera dans les premières étapes. N’hésitez pas, je l’ai conçu spécialement pour être simple et intuitif !
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Qu’est ce qu’un shampoing bio ?
Les labels bio en cosmétiques
Par pure définition, un shampoing bio est un shampoing qui comporte un label biologique. Voici une liste des principaux labels bio. Labels avec un « s »…mais pourquoi y en a t’il plusieurs ? Tout simplement parce qu’ils ne se valent pas en terme d’exigences et que ces dernières sont bien plus nombreuses qu’on ne le croit : vegan, cruelty free, biodégradable, taux d’ingrédients d’origine naturelle, respect des normes environnementales et sociales de la fabrication du produit…Cherchez celui qui vous correspond le mieux. On vous a fait une petite liste de ceux qu’il est le plus facile de trouver en France :
- le label AB et label européen : depuis quelques années, ces deux logos répondent au même cahier des charges. Voici en substance ce qu’ils visent : 95% des ingrédients sont issus du mode production biologique. Très bien, mais ce sont les 5% restants qui pêchent…car rien n’empêche les producteurs d’y mettre certains ingrédients de synthèse issus de la chimie. Sans parler des quats qui y sont autorisés, ainsi que de l’ammonium lauryl sulfate, mais je reviendrai sur son cas dans la suite de cet article;
- Cosmos organic : cette association européenne réunit entre autres nos Cosmébio et notre Ecocert. Le cahier des charges définit 100 % d’ingrédients biodégradables, au moins 95% d’ingrédients naturels ou d’origine naturelle, au moins 95% d’ingrédients végétaux biologiques, au moins 20% d’ingrédients biologiques et au plus 5 % d’ingrédients autres. Mais ceux-ci sont listés et donc bien identifiés.
…comme son comparse Ecocert Cosmos organic regroupe Ecocert et Cosmébio Cosmébio, un label bio de référence - Nature & Progrès : ce label est un des rares à intégrer une dimension sociale et économique. Les tests sur animaux y sont interdits et 100% des ingrédients végétaux doivent être issus de l’agriculture biologique. Sans doute l’un des labels bio les plus fiables même s’il est imparfait.
Le cas des produits naturels non-labellisés
Un shampoing bio peut-il être biologique sans avoir de label ? Au sens légal non, pourtant du point de vue de la qualité des ingrédients, oui. Car un produit qui présente une formule dont tous les ingrédients sont d’origine naturelle, biodégradables, fabriqués selon des process non-polluants biologiques fait de lui en pratique un shampoing bio. Et il existe des marques qui rentrent dans cette catégorie avec des gammes de très haute qualité sans label. Faire labelliser un produit est très contraignant et très cher. Très contraignant car ils ont leurs limites. Ce n’est pas parce qu’un ingrédient est naturel et bio qu’il est bon pour la peau et les cheveux. Ainsi, le débat fait toujours rage au sujet de certaines substances autorisées ou non dans les labels. Ainsi, certains fabricants choisissent de se passer de label bio pour leurs shampoings naturels pourtant d’excellente facture car ils ne sont pas en accord avec les cahiers des charges proposés et préfèrent garder toute liberté et marge de manœuvre dans la formulation de leurs produits.
A l’inverse les grands industriels des cosmétiques semblent actuellement piqués par la mouche des « sans machin sans trucs ». Les mentions « sans silicones », »sans parabens », « sans agents occlusifs » et autres affichés sur un bel emballage bien vert agrémenté d’une pure et innocente goutte d’eau, ça vous dit quelque chose ? Et pourtant si vous en étudiez l’étiquette, vous vous apercevez que certes il n’y a pas de silicones mais qu’il y a des quats à la place, que les parabens sont bien absents mais qu’ils ont été remplacés par de la methylisothiazolinone ou de la Methylchloroisothiazolinone, ces ersatz étant tous pires que ce qu’ils remplacent. Cela s’appelle du greenwashing et c’est une technique très utilisée des acteurs historiques des cosmétiques (ou d’autres secteurs d’ailleurs) pour continuer à vendre des cochonneries au lieu de faire des recherches et de formuler de vrais produits naturels. Donc si une grande marque propose un « sans quelque chose » sans label bio, méfiez-vous !
Le shampoing bio et naturel : un produit nouveau et innovant
Les shampoings se sont rapidement développés dans les années 60 à la suite de l’invention et de la mise sur le marché des syndets. Des dizaines d’années plus tard, force est de constater que la plupart des shampoings, qu’ils soient vendus en supermarché, en pharmacie ou par des marques de luxe ont la même base : le sodium laureth sulfate (ou à limite le sodium lauryl sulfate, il y a une différence de transformation chimique entre les deux, mais c’est très proche). Vous pouvez voir des différences à l’usage entre les différentes marques mais ça ne sera que cosmétique… Or le SLS ou le SLES sont bien trop irritants pour avoir une chevelure et un cuir chevelu « sains ». Les silicones (ou l’huile minérale et les quats) vont presque travailler en synergie avec les sulfates : en enveloppant le cheveu d’une fine couche de plastique, ils vont masquer les effets de dévastateurs de ceux-ci. Comme du maquillage. Voilà pourquoi vous pouvez avoir des cheveux d’apparence brillants mais très abimés, tout raides, fourchus et cassants. Parallèlement les silicones, de par leur « qualité » d’agent occlusif, empêchent toute pénétration de soin hydratant et nourrissant qui pourraient aider le cheveu agressé par les sulfates. Voilà pourquoi avec ces derniers les silicones (et leurs amis) sont à bannir absolument de votre shampoing mais aussi de votre après shampoing et masque.
Tout l’enjeu pour la formulation des shampoings bio est de créer qui lave efficacement et agréablement sans utiliser les sulfates qui ont toujours été à la base des shampoings depuis leur création. En ce sens, il s’agit d’un tout nouveau cosmétique. Et la difficulté est réelle : il faut dénicher tout d’abord de nouveaux tensioactifs (la plupart des labos français n’en produisent pas) faits à base de végétaux qui ont à la fois un bon pouvoir lavant et un bon pouvoir moussant. Car si la mousse ne conditionne en rien la qualité de lavage, elle est par contre exigée par la plupart des consommateurs car elle rend le produit agréable à utiliser. Ensuite, il faut apprendre à formuler ces tensioactifs : la plupart s’épaississent mal, se solubilisent mal dans l’eau. Une fois cette base établie, il faut encore lui ajouter des conservateurs de qualité et des actifs qui vont rendre le produit agréable à utiliser (parfum par exemple). Il faudra veiller enfin à ce que toutes ces substances « travaillent » bien. C’est à dire ajuster les quantités des uns et des autres et voir comment les uns réagissent aux autres et quels effets cela produit. Ainsi, la formulation d’un bon shampoing bio est très longue, et nécessite des connaissances des ingrédients que les formulateurs conventionnels n’ont tout simplement pas. Si l’on ajoute à cela le prix d’achat des ingrédients qui est bien plus cher que pour un produit chimique, on comprend le prix plus élevé du shampoing bio à la vente.
Le shampoing bio et naturel : repenser sa routine cheveux
Un bon shampoing bio va laver sans agresser. Et c’est là que se situe la différence fondamentale avec un shampoing conventionnel : grâce à l’effet « maquillant » des silicones, nous avons pris l’habitude de penser qu’un shampoing lave, nourrit, lisse, hydrate, fait briller… Alors que la mission d’un lavant de qualité est tout simplement de laver efficacement en laissant le cheveu propre. Le tout avec une utilisation agréable et des ingrédients non-polluants. Hydrater, nourrir… seront la tâche des soins complémentaires en avant ou après-shampoing. Cela nous amène donc à repenser totalement notre manière de concevoir notre routine d’entretien des cheveux. D’autant plus qu’un shampoing clean est la base de toute routine de qualité : impossible de mixer produits chimiques et produits naturels car leurs effets s’annulent. En effet, les bains d’huiles, d’aloe vera ou tout autre actif naturel ne pourra jamais passer la barrière des silicones pour atteindre le cheveu.
Cette différence entre les produits naturels et les produits aux sulfates/silicones explique pourquoi il y a souvent besoin d’une période de transition lorsque l’on passe de l’un à l’autre. Celle-ci se manifeste par exemple par des cheveux poisseux, ternes, abîmés…Bien que ces réactions soient tout à fait normales, elles sont loin d’être obligatoires lors du passage au shampoing bio et certains voient leur chevelure s’améliorer dès qu’ils délaissent les produits chimiques. Je vous explique dans cet article comment passer au mieux la période de transition.
Comme pour le monde du bio en général, il faut comprendre comment ça marche pour en tirer les pleins bénéfices. Ainsi, il vous faudra prendre en compte que votre shampoing lave et c’est tout. Pour le reste pas d’inquiétudes : le naturel est une mine d’or en ce qui concerne les soins capillaires et les marques bio proposent également de très bons soins !
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Suite aux nombreuses demandes que je reçois, je mets mon expérience à votre service pour vous orienter vers les bons produits et les bons gestes. Pourquoi c’est plus efficace ? Parce que vous avez quelqu’un à qui parler, que ce soit par téléphone ou par mail ! Je peux ainsi bien cerner votre cheveu et vos besoins, vous rassurer et vous encourager pour construire ensemble votre routine, unique et personnelle.
Merci Emilie pour votre réponse rapide 🙂
Cela me donne envie de tout couper haha !
Je pensais que le rinçage au vinaigre de cidre n’était utile que lors de l’utilisation de poudre ou de farine.
Je vais essayer ça.
Cela fait un mois et demi que j’ai arrêté les shampoings du commerce.
Donc je ne suis pas sûre que la transition soit terminée. Qu’en pensez-vous ?
Merci encore
Bonjour Lorane,
1 mois c’est pas énorme mais je ne peux pas dire il faut faire une analyse plus poussée car la transition est quelque chose d’assez complexe :).
Capillairement,
Emilie
Bonjour,
Merci pour votre article très riche.
J’ai acheté un shampoing bio en suivant ces règles.
Seulement, en l’utilisant, j’ai les racines propres et les longueurs poisseuses…
Comment l’expliquer vous ? Si les racines sont propres c’est pourtant qu’il nettoie suffisamment ?
Je fais attention de bien rincer.
Merci pour votre réponse.
Bonjour Lorane,
En fait vos racines sont « neuves » mais les longueurs ont un historique. Si elles sont abimées, pleines de silicones… Elles ne réagiront pas de la même manière. Essayez un rinçage acide au vinaigre de cidre pour atténuer l’effet.
Sinon, avez-vous fini votre transition ?
Capillairement,
Emilie
Merci vraiment pour cet article il est vraiment riche!! Néanmoins j’ai un soucis avec les correspondances naturelles genre « exemple d’un tentioactif naturel et Bien connu au quotidien svp! »
Bonjour,
Merci ! Par contre je ne comprends pas du tout ce que vous voulez dire …
Capillairement,
Emilie
Bonjour
Merc infiniment c’est un excellent article.
Si c’est possible pouvez vous nous donner une formule détaillée avec les pourcentages relatifs aux composants pour développer un nouveau produit Merci.
Bonjour Meriem,
Merci 🙂 Vous avez des recettes de shampoings maison dans la section « faire son shampoing bio ».
Capillairement,
Emilie
Merci un très excellent article. Pouvez vous nous donner une formule détaillée avec les pourcentages relatifs aux composants merci.
Bonjour,
Merci pour votre retour ! Vous avez des recettes détaillées dans la rubrique « faire son shampoing bio » car cela faisait beaucoup dans un seul article 🙂
Capillairement,
Emilie